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jeanne d'arc - Page 2

  • Pèlerinage Domremy-Vaucouleurs le 8 mai avec Pèlerins de Lorraine

    Lorrains et pèlerins, n'oubliez pas le traditionnel pèlerinage Domremy-Vaucouleurs ce dimanche 8 mai avec l'association Pèlerins de Lorraine !

    - samedi 7 mai : veillée animée par les Europa Scouts de la IIIe Nancy et les guides de la IIe à la chapelle Notre-Dame de Beauregard à Maxey-sur-Meuse (88)

    - dimanche 8 mai : départ à 8h30 devant l'église de Domremy

    - pèlerinage sur les chemins entre Domremy et Vaucouleurs : Notre-Dame de Bermont, Goussaincourt, Montbras, Taillancourt...

    - vers 12h00 : arrivée à Champougny - pique-nique avant de reprendre le chemin de Vaucouleurs vers 13h30

    - après Sepvigny et Châlaines, arrivée à Vaucouleurs où l'abbé Thomassin, prêtre du diocèse de Nancy et de Toul, célébrera la messe de clôture du pèlerinage à 16h00

  • Void fête Jeanne d'Arc le 1er mai

    Les propriétaires de l'ancien château médiéval de Void, en Meuse, accueillaient ce 1er mai une rétrospective sur l'épopée johannique en Lorraine et un hommage à Henri Bataille, historien et archéologue qui sauva les remparts de Vaucouleurs préparés par Raoul Charles, président de l'association des Amis d'Henri Bataille.

    Nos amis avaient invité également Jean-Marie Cuny, auteur lorrain, bien connu, de plusieurs ouvrages sur notre Jehanne la Bonne Lorraine, ainsi qu'un sculpteur vosgien créateur de bustes de notre héroïne lorraine.

    L'ancienne tour des Pigeons accueillait encore les amateurs de bières lorraines : on pouvait d'ailleurs déguster la nouvelle bière dédiée à Jeanne d'Arc !

  • Anneau de Jeanne d'Arc : les Anglais déclarent la guerre à la famille de Villiers

    Le président du Puy du Fou, Nicolas de Villiers, chargé de rapporter la relique johannique d'Angleterre affiche une grande sérénité face aux menaces britanniques brandies pour la récupérer. Il explique sa stratégie de défense.

    Qui eût cru que ce modeste anneau de laiton porté il y a six siècles par la Pucelle d'Orléans déchaînerait tant de passions ? Certainement pas Nicolas de Villiers, lorsqu'il a pris la décision de l'acheter il y a plus d'un mois. Le 26 février dernier, il l'emportait aux enchères, pour un montant de 376.833 euros.

    Mais coup de théâtre, deux semaines après le retour en France de cet objet symbolique, l'Art Council of England missionné par le gouvernement anglais réclame l'anneau de Jeanne d'Arc. Pour appuyer sa demande, il brandit un règlement européen de 1992 d'après lequel il faut pour les biens culturels qui quittent le territoire national une licence d'exportation qu'ont omis de demander les acheteurs. Si l'anneau n'est pas rendu d'ici une dizaine de jours, l'autorité chargée des affaires culturelles en Angleterre menace d'exiger sa saisie conservatoire par les douanes françaises et sa mise sous séquestre avant que l'affaire ne soit réglée devant un tribunal.

    > Que répondez-vous à cette sommation de l'Art Council of England ?
    Nicolas de Villiers - Qu'elle est sans fondement solide, puisqu'en réalité, le règlement européen qu'invoquent nos amis Anglais pour récupérer l'anneau nous protège. Il y est précisé que l'obligation de licence d'exportation ne concerne que les biens culturels qui quittent le territoire de l'Union européenne. Entre les différents pays membres de l'UE, comme l'Angleterre et la France, ce même texte garantit au contraire la libre circulation de ces biens culturels. Les Anglais font là un détournement de procédure. Nous pourrions d'ailleurs aller plus loin en avançant un argument diplomatique de poids. D'après la Convention de l'Unesco de 1970 également invoquée par les Anglais, « sont considérés comme illicites l'exportation et le transfert de propriété forcés de biens culturels résultant directement ou indirectement de l'occupation d'un pays par une puissance étrangère. » Or l'anneau, dont il a été scientifiquement prouvé que c'est celui de Jeanne d'Arc, avait été confisqué par les Anglais pendant la Guerre de Cent ans, qui est une période d'occupation. Tous les éléments sont réunis. S'ils persistent, les Anglais vont vers un trouble diplomatique majeur.

    > À dix jours de l'échéance imposée par les Anglais, quel est votre état d'esprit ?
    Nous l'attendons de pied ferme, avec une grande sérénité. Cette aventure ubuesque ne nous fait pas peur. Je suis certain que nous gagnerons, mais je ne sais ni quand, ni comment. Cet anneau est tout ce qu'il nous reste de Jeanne d'Arc. Il est absolument hors de question de le céder. Les Anglais ont intérêt à affûter leurs armes parce que nous affûtons les nôtres et sommes prêts à monter au créneau.

    > Comment expliquer cet acharnement des Anglais ?
    Les Anglais savaient très bien ce qu'ils avaient dans les mains. Leurs archives sont abondantes à ce sujet. Leur erreur a été de sous-estimer non pas la valeur de l'anneau, mais la probabilité que des Français se présentent aux enchères. Probabilité d'ailleurs très faible, puisque nous-mêmes avons eu vent très tard de ces enchères et nous ne nous sommes inscrits que 24h avant. À cause de ce manque de vigilance, ils ont vu l'anneau quitter leur territoire sans avoir eu le temps de le préempter comme trésor national. S'ils tiennent tant à le faire revenir sur leur territoire, c'est pour rectifier cet oubli. Cette obstination est délirante quand on sait que cet anneau était celui d'une héroïne française brûlée par les Anglais. J'ai de nombreux contacts en Grande-Bretagne depuis que nous y préparons un spectacle sur leur Histoire. Et d'après ces échos, les Britanniques eux-mêmes voient mal comment le gouvernement anglais pourrait aller plus loin dans cette requête sans se ridiculiser. C'est amusant de voir qu'il est fort probable que nous ramenions les Anglais à la raison, eux qui sont d'habitude si raisonnables.

    > Vous-mêmes, jusqu'où êtes-vous prêts à aller ?
    Il est arrivé à mon père Philippe de Villiers d'affirmer qu'il irait en prison plutôt que de rendre l'anneau à l'Angleterre. Bien sûr, c'était dit sur le ton de la boutade. Tout d'abord parce que ce n'est pas lui le propriétaire de l'anneau. Il n'est donc pas juridiquement responsable. Et surtout parce que les fondements des accusations britanniques sont si légers que c'est impensable. Mais l'idée est là. L'achat de l'anneau nous a déjà prouvé que nous étions capables d'aller beaucoup plus loin que prévu dans cette affaire. Nous nous étions alors fixé un plafond de 210 000 livres, mais poussé par un irrésistible instinct, j'ai surenchéri jusqu'à le rafler à 240 000 livres.

    > Cette affaire a déchaîné en France un engouement surprenant. Vous y attendiez-vous ?
    Très honnêtement, nous avons été les premiers surpris par l'engouement extraordinaire suscité par la récupération de cet anneau. Depuis le début de l'affaire, les manifestations de joie, les réactions vives et passionnées, souvent touchantes, nous submergent par courrier, par mail, par oral. Hier encore, dans le train, une femme s'est adressée à moi d'un ton suppliant: « S'il vous plaît, ne rendez pas l'anneau aux Anglais. » Cela nous a surpris mais c'est aisément compréhensible. Cette affaire remonte à six siècles, mais elle est chargée de symboles qui donnent une image de la grandeur nationale. Je pense que les Français ont été heureux de voir que leur pays est encore capable de panache.

    > Aujourd'hui, que dites-vous aux Anglais ?
    Avec un sourire, je leur dirais : soyez bons perdants. Avec plus de gravité, laissez aux Français leur Histoire, laissez-les renouer avec leurs symboles.

    [d'après Le Figaro]

  • "L'enquête Jeanne d'Arc" à Domremy en juillet

  • Domremy-la-Pucelle (88) : L'Abri du Pèlerin est démoli

    Le projet ne fait pas l’unanimité autour des sanctuaires de Jehanne, il n’empêche : les opérations de démolition de l’ancienne grande salle qui accueillait jadis les pèlerins du monde entier à l’occasion des fêtes johanniques de mai ont débuté ce 30 mars dans le bruit et la poussière.

    Deux énormes pelles appartenant à la société Voillaume de Neufchâteau se sont simultanément mises en mouvement jusque tard dans la soirée afin de mettre à terre un volume évalué à environ 5 000 m³. « Nous en profitons pour trier les matériaux et notamment la ferraille et procéderons dans la foulée au retrait des gravats », souligne Dominique Voillaume, de la société éponyme. Les opérations de désamiantage se sont déroulées la semaine dernière. Prochainement, pour des raisons de sécurité, c’est le restaurant L’Accueil du Pèlerin qui sera mis à terre. « Dans quinze jours, tout sera clair », sourit Dominique Voillaume.

    Erigée dans les années 1930, cette grande salle d’accueil dite « Abri du pèlerin » pouvait accueillir quelques centaines de personnes désirant pique-niquer. Le deuxième dimanche de mai, on voyait déferler là des dizaines de milliers de pèlerins. Environ 90 000 sur une seule journée, au seuil des années 1950. Le site laissera la place à un restaurant.

    [d'après Vosges Matin]

  • Décès de l'abbé Lambert, curé de Domremy

    Nous apprenons le rappel à Dieu de l'abbé Michel Lambert, curé de Domremy et recteur de la basilique Sainte-Jeanne d'Arc du Bois-Chenu.

    Il ne verra pas le début des travaux de démolition de « L’Accueil du Pèlerin » et n’assistera pas aux opérations de restauration de la basilique Sainte Jeanne-d’Arc de Domremy-la-Pucelle dont il était le recteur depuis la fin de l’été 2008 : Michel Lambert s’est éteint ce lundi 21 mars à l’âge de 77 ans.

    Originaire du Haut-du-Tôt où il avait vu le jour le 12 février 1939, Michel Lambert était le fils aîné de Lucien et Rose Lambert, frère de Paul, Jacques et Marie-Agathe. Elevé longtemps par sa mère en raison de la captivité d’un père fait prisonnier de guerre, Michel Lambert fut touché par la foi lorsqu'il accompagnait son institutrice à la messe. Après avoir effectué son séminaire à Saint-Dié, il est ordonné prêtre le 27 mars 1967 à la cathédrale. Cependant, il poursuit des études de théologie jusqu’en 1969. Cette année-là, le 1er août, il intègre l’équipe sacerdotale du plateau de la Justice à Epinal, puis la paroisse de Jeuxey le 1er juin 1976.

    Le 18 novembre 1983, il rejoint la paroisse de Bruyères avant de devenir vicaire épiscopal de la zone plaine dont il est le doyen, à Domremy, le 27 avril 1990. Il se retrouve le 2 décembre 1999 au sein de la nouvelle paroisse Bienheureux Jean-Baptiste Ménestrel à Lamarche avant d’être nommé exorciste du diocèse de Saint-Dié le 13 septembre 2007. Nommé recteur de la basilique Sainte-Jeanne-d’Arc de Domremy-la-Pucelle le 5 juin 2008, il est également curé de la paroisse Sainte-Jeanne-d’Arc-Saint-Elophe à cette date.

    Fervent admirateur de Jeanne d’Arc et ardent johanniste, Michel Lambert avait tout lu et étudié de l’héroïne, en passionné. Délégué diocésain à l’œcuménisme et responsable local des nouveaux mouvements religieux et sectes, Michel Lambert était également membre du conseil presbytéral. Jusqu’à il y a peu, il assurait encore le catéchisme et célébrait des obsèques.

    Sous des traits qui pouvaient apparaître austères, se cachait un homme profondément bon et humain. Il y a trois ans, il avait accompagné la relance de l’association des Amis de la basilique dont il était le président. On lui doit également, entre autre, la restauration récente de l’orgue de l’édifice religieux et la nouvelle brochure qui lui est consacrée. Il avait également vivement encouragé le programme de travaux à intervenir sur la basilique.

    Ses obsèques seront célébrées ce mercredi à 10h30 en la basilique du Bois Chenu de Domremy. L’inhumation au cimetière du Haut-du-Tôt se déroulera à 16h00.

    RIP+

  • Un anneau attribué à Jeanne d'Arc acquis par la Fondation "Le Puy du Fou Espérance"

    L'anneau a été acheté par la Fondation Puy du Fou Espérance, représentée par Nicolas de Villiers, fils de Philippe de Villiers et président du parc à thème vendéen mondialement connu, au cours d’une vente aux enchères organisée à Londres.

    La mise à prix de la relique datant du XVe siècle était de 14 000 livres sterling (19 051 €). Malgré l'absence de preuves que cet anneau ait appartenu à Jeanne d'Arc, il a été vendu le 26 février pour un montant record de 297 600 livres sterling (376 833 €).

    Selon les représentants de la maison d'enchères, Jeanne d'Arc a donné une description détaillée de cet anneau au cours de son interrogatoire à Rouen le 17 mars 1431 : elle présente l'inscription "Jhesus Maria" et trois croix gravées.

    L'anneau, accompagné de documents qui l'authentifient, est conservé dans un baguier en bois. Après l'exécution de Jeanne, l'objet précieux a été porté par le roi Henry VII d'Angleterre.

    Grand merci à la famille de Villiers qui, par ce geste généreux, honore la France, son histoire, Jehanne d'Arc et la Lorraine... puisque les de Villiers ont des origines lorraines !

  • Jeanne d'Arc, le procès de Rouen

    Le 21 février 1431 s'ouvre l’un des plus fascinants et décisifs procès de l’Histoire : celui de Jeanne d’Arc.

    Cette jeune fille de 19 ans, prétendue analphabète, hallucinée, hérétique, sera en moins de cent jours condamnée à être brûlée vive.

    Dès le premier interrogatoire, les juges, Cauchon en tête, assènent les coups. Ils sont prêtres, docteurs en théologie, familiers du droit canon, décidés à la faire plier.

    Dès sa première parole, Jeanne, seule à la barre, déjoue les pièges des hommes d’Église et de loi. Elle fait preuve d’un ton libertaire, habile et plein d’humour qui les déstabilise par la force de sa sincérité.

    Les voix, puisque c’est là l’essentiel, portent.

    Cent jours durant, va se jouer, en cette froide salle d’audience, l’éternel combat de la vérité.

    Tout procès se conclut dès la première audience. Jacques Trémolet de Villers, plaideur des plus importants procès politiques de ces dernières décennies, décrypte les paroles échangées et nous livre, en voix off, son commentaire jour après jour. Il introduit son lecteur dans la salle, lui fait comprendre les convictions des parties, et surtout lui fait saisir le courage sensible du personnage de Jeanne, jusqu’à craindre l’issue…

    ll y a du bon dans la procédure. Elle conserve, comme des pierres précieuses dans une châsse, un véritable trésor, et demeure en dernière analyse la seule raison sérieuse d’organiser la justice des hommes. Le texte intégral du procès, seul témoignage à faire véritablement entendre Jeanne, a été élaboré, de façon minutieuse, à partir des actes authentiques (les minutes conservées en latin et en français), vérifiés aux meilleures sources et complétés par les dépositions du procès d’annulation.

     

    ‡ Jeanne d'Arc. Le procès de Rouen 21 février-30 mai 1431, Jacques Trémolet de Villers, éditions Les Belles Lettres, 2016, 311 p. (24,90 €).

  • Domremy (88) : L'Accueil du pèlerin bientôt démoli

  • Domremy (88) : l'indispensable restauration de la basilique du Bois Chenu

    On parle de dix ans de travaux de réfection et d’une enveloppe de 5 M€ qu’il reste à financer. Il faut croire au miracle pour la basilique Sainte-Jeanne-d’Arc à Domremy !

    Propriété du diocèse de Saint-Dié, elle se dresse toujours là, fièrement, sur un coteau boisé de Domremy, non loin du lieu où Jeanne aurait entendu ses voix. Mais les pèlerins qui passent par là n’en croient parfois pas leurs yeux : la basilique du Bois Chênu, dont la première pierre a été posée il y a tout juste 134 ans, ne se présente pas revêtue de ses meilleurs atours. L’édifice a mal vieilli et laisse apparaître à l’extérieur des herbes folles et autres mousses sur les ardoises trahissant le mal dont est frappée la basilique : l’usure du temps... et l'abandon des hommes.

    En son sein, l’on sait les escaliers de la crypte bien endommagés tandis que des eaux de pluies la frappent systématiquement en plein « chœur ». A la hâte, l’abbé Michel Lambert, recteur de la basilique, dispose çà et là des seaux pour parer au plus pressé : un pis-aller qui dissimule bien mal, là encore, une certaine « misère ». « Un processus est engagé avec l’architecte et à la suite du diagnostic qu’il a établi, nous effectuerons ces réparations de fuites d’eau en priorité dès le début de l’année 2016 », précisait il y a peu l’économe diocésain Michel Petitdemange. Une première enveloppe de quelque 15 000 € pourrait être engagée.

    Cela écrit et pour reprendre les termes de l’économe, d’autres « désordres » sont apparus au fil des ans sur l’édifice classé monument historique il y a deux ans. La toiture apparaît désordonnée en effet, surtout à hauteur du dôme et de la nef. La flèche, également, semble donner quelques signes de lassitude et le montant des travaux pour réhabiliter cette seule partie du clocher sur lequel on pensait sérieusement un temps que les anges accrochés là ne tenaient plus que par un grand mystère et quelques morceaux de ferraille, s’élèverait à un million d’euros.

    Un million d’euros, c’est justement le montant de l’enveloppe qui fait actuellement défaut au diocèse de Saint-Dié pour boucler le budget des personnels : prêtres et laïcs !

    « Cela fait deux ans qu’un travail est engagé avec l’architecte. Des travaux d’urgence ont été réalisés et l’orgue, notamment, a en partie été restauré ainsi que certains endroits au niveau du plafond au-dessus de cet orgue, justement », souligne encore Michel Petitdemange.

    C’est le cabinet Bortolussi, « architecte de référence dans la région » qui a planché sur le dossier. Dans les Vosges, on lui doit notamment la rénovation de la cathédrale de Saint-Dié-des-Vosges, l’abbaye d’Autrey, ainsi que d’autres monuments historiques (Châtillon-sur-Saône, couvent des Thons, abbaye de Bleurville...). Outre un diagnostic technique important, il est également question d’obtenir le plus rapidement possible l’accord indispensable de la Direction régionale des affaires culturelles (Drac) et, plus délicat encore, trouver les financements idoines. On parle là au bas mot d’une dizaine d’années de travaux de réfection pour un coût estimé à près de 5 millions d’euros. 4,7 millions d’euros très exactement. « Mais quand on ouvre, on ne sait jamais ce que l’on va découvrir », dit encore en substance Michel Petitdemange. De nombreuses pierres se trouvent en très mauvais état en effet et la basilique chère à Jeanne d’Arc se trouve plus que jamais soumise à de fortes contraintes administratives.

    Fidèles, amoureux du patrimoine et de l'histoire et collectivités publiques doivent s'efforcer de réunir les subsides nécessaires pour restaurer un pan de notre Histoire commune.

    [d'après Vosges Matin]

  • Souvenons-nous de Henri Bataille, l'historien de Vaucouleurs

    [L'Abeille]

  • Le 'Conseil' de Jehanne d'Arc convoqué à Notre-Dame de Bermont

    Les deux nouvelles statues bénies lors des IIèmes Journées johanniques de Bermont : sainte Thérèse de Lisieux et sainte Clotilde [cl. ©H&PB].

    Les IIèmes Journées johanniques se sont tenues les 26 et 27 septembre à l'ermitage de Bermont (Vosges, commune de Greux) autour du thème du "Conseil de Jehanne". Rappelons que Jehanne aimait fréquenter ce saint lieu où elle se rendait presque chaque samedi afin d'y prier Marie et d'y déposer des cierges.

    Par "Conseil", nous devons entendre l'intervention divine qui s'est manifestée auprès de Jehanne par l'entremise de l'archange saint Michel et des saintes Catherine et Marguerite. L'abbé Patrick du Fäy, de la Fraternité Saint-Pierre, a abordé ce thème en tentant une approche de ce phénomène surnaturel qui est signe de contradiction pour nos contemporains, comme il le fut d'ailleurs à l'époque de Jehanne. Marie-Paule Renaud, historienne de Jehanne d'Arc, a expliqué la grande variété des représentations des "voix" à travers l'art (peinture, sculpture, vitrail). Enfin, Marie-Véronique Clin, ancienne collaboratrice de Régine Pernoud, a resitué les travaux de recherches sur Jehanne menés par l'historienne, et les difficultés qu'elle a rencontré au sein même de l'université pour faire accepter certaines vérités sur Jehanne d'Arc.

    Dimanche, lors de la messe célébrée dans la chapelle Notre-Dame de Bermont, le RP Jean Bosco, bénédictin à l'abbaye Saint-Joseph de Clairval à Flavigny-sur-Ozerain (21), a béni les deux nouvelles statues sculptées par ses soins : sainte Clotilde et sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus, deux saintes liées à la spiritualité johannique.

    Lors de ces Journées, Alain Olivier, président de l'association Notre-Dame de Bermont-Sainte Jehanne d'Arc, a présenté aux participants le projet auquel collabore l'association avec deux autres structures johanniques nationales : l'installation en Russie d'une reproduction de la statue du sculpteur Boris Lejeune dédiée à Jehanne d'Arc, installée à proximité de la chapelle de Bermont. Il s'agit, pour les johannistes français, de remercier la Russie pour son action en faveur de la protection des chrétiens d'Orient.

  • IIèmes Journées johanniques à Notre-Dame de Bermont les 26-27 septembre 2015

    Samedi 26 et dimanche 27 septembre 2015

    IIèmes journées johanniques de Bermont (Greux – Domremy)

    Le thème de ces IIèmes journées est celui du « Conseil » de Jehanne. Ce phénomène surnaturel est un signe de contradiction pour nos contemporains, comme il le fut à son époque et aux siècles suivants.

    Un hommage spécial sera réservé à Régine Pernoud dont l’œuvre et les recherches sur Jehanne d’Arc restent une référence.

     

    Samedi 26 septembre

    13h30 : accueil des participants, à l’ermitage de Bermont

    14h00 : conférence sur « Jehanne en ses conseils : l’aide de la clarté angélique », par Monsieur l’abbé Patrick du Fäy, recteur du séminaire de la Fraternité Saint-Pierre à Wigratzbad

    16h00 : conférence sur « Les voix au travers de l’art : peinture, sculpture, vitrail » par Marie-Paule Renaud, historienne, rédactrice de la « Lettre d’informations Présence de Jehanne d’Arc ».

    18h00 : conférence sur « Régine Pernoud, sa vie et son œuvre » par Marie-Véronique Clin, ancienne collaboratrice de Régine Pernoud, historienne, conservatrice du Musée d’histoire de la Médecine à Paris

    Dimanche 27 septembre

    10h00 : solennité de sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus, patronne secondaire de la France. Messe selon le rite extraordinaire de l’Église, à l’intention des chrétiens persécutés

    Le RP Jean Bosco, bénédictin de l’abbaye Saint-Joseph de Clairval, bénira les deux statues qu’il a sculptées pour la chapelle (sainte Clotilde et sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus).

  • Notre-Dame de Bermont, la chapelle de Jeanne d'Arc

  • Jeanne d'Arc, chef de guerre

    L'association universelle des Amis de Jeanne d'Arc publie dans un numéro spécial dans sa revue Jeanne d'Arc consacré à Jeanne d'Arc chef de guerre. Ce texte était resté dans les archives de l'association depuis la mort, en 2010, de son auteur, René Olivier.

    Le caractère inédit de ce texte en fait un document au plein sens historique du terme. Il s'agit d'une expression de la conviction de son auteur, né l'année même de la canonisation de Jeanne et de l'institution par la République de la fête nationale de Jeanne d'Arc. Ce document, reflet des positions de l'auteur, est à mettre en lien avec ceux de la génération des années 1920-1930 qui a connu le traumatisme de la "défaite" de 1940.

    René Olivier nous livre un récit passionné, fruit de son engagement au service de la France, lorsqu'à moins de 20 ans il est engagé volontaire dans l'armée française. Homme de la France traditionnelle, catholique, loyale, l'auteur nous livre un récit d'une Jeanne chef de guerre qui transmet l'enthousiasme, le sens du sacrifice et le souci de la vérité.

    Cependant, si ce récit fait la part belle à l'action militaire de Jeanne, les fondements politiques et religieux justifiant cette action ne sont pas occultés.

    L'ouvrage a le grand mérite de mettre en relief cet aspect militaire essentiel de la mission de Jeanne d'Arc, trop souvent négligé ou effacé, étant considéré comme secondaire par rapport aux enjeux politiques et religieux de l'époque.

     

    ‡ Jeanne d'Arc, chef de guerre in Revue Jeanne d'Arc, n° 5, mai 2015, association universelle des Amis de Jeanne d'Arc, 264 p. (sur abonnement : 10 €). Disponible auprès de l'Association universelle des Amis de Jeanne d'Arc, 85 rue Petit, 75019 Paris.

  • Jeanne d'Arc "la Pucelle"

    La nouvelle collection des éditions Honoré Champion, Champion l'Histoire, propose de revisiter une date ou un personnage ayant marqué l'Histoire et la mémoire collective. Parmi ses premiers ouvrages publiés, la collection propose un voyage dans le temps à la rencontre de Jeanne d'Arc.

    Les auteurs nous font revivre notre héroïne nationale à travers les dictionnaires, les journaux, les écrits, les témoignages laissés autour de Jeanne au cours des siècles. C'est une véritable enquête dans le passé pour comprendre comment cette jeune fille extraordinaire "venue des marches de Lorraine" a pu traverser le temps, comment elle a influencé l'histoire de France et ses grands hommes et comment elle marque encore notre pays et le monde d'aujourd'hui.

    Dans ce petit ouvrage, Jeanne se raconte et tous ceux qui l'ont connu disent son histoire. Original.

     

    ‡ Jeanne d'Arc "la Pucelle", Anne Delchiaro et François Pernot, éditions Honoré Champion, 2015, 140 p., ill. (9,90 €).

  • Parce que c'était lui...

    En 1580, une famille vosgienne se nourrit d'une croyance venue d'Italie. Elle est condamnée à vivre cachée pour éviter la sanction mortelle.

    Élevé par sa grand-mère, Jean apprend la chirurgie. Ses études l'envoie au pays de Jeanne d'Arc. Il rencontre le philosophe Michel Eyquem. Grâce à Giordano Bruno, visionnaire italien, il retrouve son passé...

     

    L'ouvrage "Parce que c'était lui" de Roger Poinsot est disponible au prix de 24 € franco. Commande et règlement à adresser à : M. Roger Poinsot, 14 rue de la Joie, 88320 Marey.

  • Deuxièmes Journées johanniques à Notre-Dame de Bermont les 26-27 septembre 2015

    Bénédiction des statues de saint Martin et saint Louis à la chapelle de Bermont en septembre 2014 lors des Ières Journées johanniques [cl. ©archives H&PB].

    L'association Notre-Dame de Bermont - Sainte Jehanne d'Arc organise les 26 et 27 septembre 2015 les IIèmes Journées johanniques dans le cadre de l'ermitage de Bermont (commune de Greux, Vosges) sur le thème : "Le Conseil de Jehanne, les apparitions et révélations de saint Michel, de sainte Catherine et de sainte Marguerite ".

    Plusieurs conférences sur cette thématique seront proposées.

    Le dimanche 27 septembre, lors de la messe, seront bénies les nouvelles statues de sainte Clotilde et sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus par le père Don Bosco, moine bénédictin et sculpteur, de l'abbaye Saint-Joseph de Clairval de Flavigny-sur-Ozerain (Côte d'Or).

    Le programme définitif de ces Journées sera diffusé ultérieurement.

  • La Nouvelle revue lorraine n° 32 : hommage à l'historien de Vaucouleurs et de Jeanne d'Arc, Henri Bataille

    Les hauts-lieux de la Lorraine. Ils sont nombreux, mais Jean-Marie Cuny, dans son éditorial, en évoque quelques-uns parmi les plus symboliques de notre pays et de son histoire : la butte Sainte-Geneviève proche de Nancy, Notre-Dame de Beauregard proche de Domremy, La Mothe dans le Bassigny lorrain. Autant de lieux qui ne sont pas forcément évoqués avec grand renfort de publicité dans les brochures pour touristes, mais qui constituent la mémoire de notre Lorraine et des Lorrains qui se sont succédés sur cette vieille terre.

    Comme à son habitude, le sommaire de cette dernière livraison est truffé d'excellents articles sur notre histoire, son patrimoine et les lorrains célèbres - ou restés dans l'anonymat... Jugez-en :

    - Henri Bataille (1908-2008), historien et archéologue

    - la bibliothèque Stanislas de Nancy

    - un laboratoire pharmaceutique nancéien : Auguste Fandre et ses catguts

    - la Gloriette de Rezonville

    - il y a 40 ans à Nancy : la destruction programmée de la ville

    - Jamerey-Duval dans le Barrois en 1709

    - une incroyable chasse au loup

    - Louis Bertrand (1866-1941), un grand écrivain lorrain oublié

    - 70e anniversaire du 8 mai 1945 : un beau jour !

    - la maison dont j'étais le prince

    - sous le Second Empire : un discours de fin d'année à Phalsbourg

    - Lorraine, au Canada

    - l'église Saint-Pierre de Mey

    - les "cailloutages" de Gerardmer

    - les tisserands fermiers

    - deux statues touloises de la Renaissance lorraine

    ... et les rubriques habituelles : les infos lorraines, les livres et les infos du Jean-Marie.

     

    La Nouvelle revue lorraine est disponible dans toutes les bonnes librairies... en Lorraine, et sur abonnement en envoyant vos coordonnées postales et votre règlement par chèque (38 € pour 6 numéros, à l'ordre de "SEP Helenus - La Nouvelle revue lorraine") à : LA NOUVELLE REVUE LORRAINE, LE TREMBLOIS, 54280 LANEUVELOTTE.

  • Les Eparges (55) : le monument des 106e et 132e RI vandalisé

    C’est un vrai symbole de la Grande Guerre que l’on a massacré en Meuse sur la commune des Éparges. Le monument du 160e RI, le régiment de Maurice Genevoix, a été délesté de son bas-relief réalisé sans doute en fonte.

    Inauguré en 1935, il aura résisté à la Seconde Guerre mondiale mais pas à la détermination des vandales. Il a été attaqué à la masse pour le décoller du monument de pierre.

    L’œuvre est signée de Maxime Real del Sarte, un sculpteur, ancien des Éparges où il a perd...u son bras gauche en janvier 1916. Un Poilu revenu de l’enfer qui continua à sculpter le métal et la pierre avec un seul bras.

    Le monument est élevé « Aux revenants » du 106e et du 132e RI. Car c’est ici qu’ont explosé les premières mines le 17 février 1915.

    Une main squelettique de pierre sortan du monument, quelques crânes de l’autre côté. Un visage les yeux fermés et ces mots : « Je crois ». En plein centre, le bas-relief représentait une Jeanne d’Arc casquée tenant dans ses bras un poilu mort sur un drapeau. Par terre, le casque Adrian ceint des lauriers de la gloire et d’une couronne d’épines faisant référence à la passion du Christ.

    Un vol qui intervient en pleine commémoration des combats des Éparges. Cent ans tout juste que la terrible bataille s’est déroulée.

    Tout au long du petit sentier sinueux qui mène au célèbre monument on aperçoit les traces laissées par le déménagement de ce bas-relief.

    Reste à déterminer à quelle date le vol a été commis ; l’endroit étant très retiré. Un vol qui rappelle, entre autres, celui de la plaque de métal du monument aux morts de Bezonvaux et représentant le village avant sa destruction. Il rappelle aussi la tentative de vol des casques des bornes de la Voie Sacrée... il y a tout juste un an.

    [source : ER]

  • Domremy (88) : réservation pour le spectacle "Jeanne d'Arc" de juillet 2015

  • Vaucouleurs (55) : une plaque en hommage à l'historien Henri Bataille

    Le dimanche 10 mai, en la solennité de la fête de sainte Jeanne d'Arc, l'association des Amis d'Henri Bataille a inauguré un plaque commémoratrice en l'honneur de l'historien de la cité johannique, Henri Bataille (1908-2008), lui qui a consacré toute sa vie à Jeanne et à Vaucouleurs.

     Il fut un précurseur dans le domaine de la sauvegarde du patrimoine historique puisque son action contribua à sauver deux tours des fortifications de Vaucouleurs du XIVe siècle .

    Historien de Jeanne d'Arc, écrivain, poète et archéologue par ses fouilles menées au château du Sire de Baudricourt, il fut aussi un guide infatigable des lieux historiques, où il accueillit des milliers de visiteurs. Sans oublier le millier de conférences données en Europe afin de financer fouilles et travaux à Vaucouleurs !

    Souvent dénigré et incompris, Henri Bataille est aujourd'hui bien oublié... Cette plaque contribue donc à maintenir le souvenir de l'homme et à rendre hommage à celui qui oeuvra pour sauver la mémoire de la cité qui arma Jehanne "la bonne Lorraine".

    [cl. courtoisie de M. Raoul Charles, président des Amis d'Henri Bataille]

  • Jeanne d'Arc en histoire et en musique à Domremy le 25 avril 2015

     

    ‡ Plus d'info sur http://crulh.univ-lorraine.fr/content/jeanne-darc-en-histoire-et-en-musique-2eme-partie

  • 9 et 10 mai 2015 : 37ème pèlerinage Domremy-Vaucouleurs dans les pas de Jehanne d'Arc

    Les pèlerins lorrains dans les pas de Jehanne d'Arc [cl. archives 2014 ©H&PB].

     

    L'association Pèlerins de Lorraine invite tous les Lorrains - et tous les autres aussi, le Lorrain n'est pas sectaire ! - au traditionnel pèlerinage Domremy-Vaucouleurs qui se déroulera les 9 et 10 mai prochains selon le programme suivant :

    - samedi 9 mai à 19h00 : rendez-vous à la chapelle de Beauregard à Maxey-sur-Meuse avec la IIIe Nancy Europa Scouts pour le bivouac.

    - dimanche 10 mai à 8h00 :

    > rendez-vous devant l'église Saint-Rémy de Domremy pour le départ du pèlerinage avec une halte à Notre-Dame de Bermont, puis direction Champougny pour la messe.

    > messe à 12h00 en l'église paroissiale par l'abbé Thierry Laurent, prêtre du diocèse de Paris (mais Lorrain de naissance !).

    > repas tiré du sac à l'issue de la messe, puis à 14h00 départ pour Vaucouleurs où aura lieu le Salut au Très Saint Sacrement en l'église paroissiale.

    Fin du pélé' vers 17h30.

  • Jeanne d'Arc revient au combat en 2015 à Domremy

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  • Sainte Jeanne d'Arc, vierge et martyre

    jeanne d'arc.jpgDans cet ouvrage, l'auteur retrace la vie et la mission de la sainte de la Patrie. On y contemple ce parallèle saisissant entre sainte Jeanne d’Arc et le Christ, tout en saisissant enfin l'abominable machination de l’évêque Cauchon au cimetière de Saint-Ouen. Non, jamais Jeanne d'Arc n’a abjuré quoi que ce soit, et sa passion, ainsi que son martyre, sont le sceau de la vérité sur toute sa mission.

    S'appuyant sur l'étude méconnue du colonel Boulanger parue en 1956 sur le thème "7 juillet 1456, enterrement de l'affaire Jeanne d'Arc,  triomphe de l'université de Paris", l'auteur de "Sainte Jeanne d'Arc, vierge et martyre" apporte la démonstration incontestable que Jeanne n'a jamais abjuré. Sœur Hélène dévoile les mensonges et falsifications des juges du procès de 1431 mais aussi, et c'est la nouveauté, ceux de leurs confrères du procès de "réhabilitation" en 1456, ces derniers cherchant à excuser et couvrir les premiers. Les documents, en particulier ceux de la réhabilitation, affirmant que notre Jeannette a abjuré mais sans comprendre ou simplement par une peur bien concevable du bûcher, sont des faux, visant en réalité à réhabiliter... la Sorbonne.

    Un ouvrage surprenant à découvrir.

     

    ‡ L'ouvrage "Sainte Jeanne d'Arc, vierge et martyre" peut être commander au prix de 24,50 € (franco) à : Editions de la Contre-Réforme Catholique, BP 3, 10260 Saint-Parres-lès-Vaudes.

  • Vaucouleurs (55) : fête du départ de Jehanne d'Arc le 22 février 2015

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  • Ermitage Notre-Dame de Bermont (88) : les activités 2015

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    Notre-Dame de Bermont et sa statue de Jeanne d'Arc par Boris Lejeune [cl. ©H&PB].

     

    L'association Notre-Dame de Bermont - Sainte Jehanne d'Arc propose cette année les activités suivantes à l'ermitage de Bermont (commune de Greux, Vosges) :

    - nuits de prières les 30 et 31 mai, et 14 et 15 août

    - 30 mai :  assemblée générale de l'association pour la fête de sainte Jeanne d'Arc

    - 15 août : messe et procession pour la fête de l'Assomption

    - 26 et 27 septembre : 2èmes Journées johanniques

    L'association projette d'installer pour cet automne deux nouvelles statues dans la chapelle : sainte Clotilde et sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus.

     

    ‡ On peut adhérer à l'association ou souscrire à la réalisation des nouvelles statues en contactant ermitage@nd-bermont.fr